Une merveille, un cadeau, une plante exubérante, des fleurs éclatantes… Qui dit mieux ?
Excellente en cuisine également, mmm la petite saveur poivrée de ses fleurs et leur touche lumineuse sur une salade, et même en solo avec quelques gouttes de crème balsamique… D’ailleurs à son introduction en France au XVIIème siècle, on l’appelait « cresson du Pérou ».
Indispensable au jardin, de culture facile, elle se charge des pucerons et du même coup attire les coccinelles…
Et puis ce nom, capucine, qui provient probablement de sa ressemblance avec les capuches portées par les moines capucins, et surtout qui donne envie de danser, d’entrer dans la ronde et d’éclater de rire en s’accroupissant ou en sautant sur « you » ! Pourtant ce n’est pas très drôle de ne plus rien avoir à manger…
La mélodie est celle du refrain de La Carmagnole de la révolution (vive le son du canon), mais pourquoi la capucine ?
Pour Wikipédia, il pourrait s’agir d’une allusion à l’image des robes qui forment une capuche lorsqu’on s’accroupit à la fin de la ronde.
D’après le site de botanique « Picture This », la grande capucine est souvent associée à la victoire dans la bataille et au patriotisme, serait-ce alors en relation avec le patriotisme de la révolution ?