Ma mère (oui oui, encore elle) ne les appréciait pas tellement : « ça ne dure pas longtemps ». Autre époque où la valeur des choses (cartables, pantalons et souliers) se mesurait à l’aune de leur durée de vie…
J’aime les pivoines pour leur côté littéraire et artistique (Renoir), et leur invitation au voyage par la beauté des peintures et des porcelaines d’Orient.
Alors un petit haïku pour finir :
Du cœur de la pivoine
l’abeille sort
avec quel regret
(Bashô)
Henriette